Il y a des artistes peintres. Il y a des peintres naturalistes. Il y a des peintres réalistes. Il y a des peintres portraitistes. Il y a des portraitistes réalistes. Il y a Yan Pei Ming. Un mélange de genres. Portrait, autoportrait, paysage, peinture d’histoire : Yan Pei-Ming explore tous les genres de la peinture.
De grands formats pour des portraits de grands hommes, à commencer par lui-même, Barack Obama, Coluche, Bruce Lee, Mao, les Papes…
Du noir. Du blanc. Une infinité de nuances entre. Du rouge… et une brosse en guise de pinceau.
Un atelier immense à Ivry-sur-Seine. Un attachement particulier à Dijon, où il réside. Une naissance en Chine dont il partira à l’âge de 19 ans.
Du talent. Beaucoup de talent. Une immense renommée. Des expositions, dans le monde entier. En ce moment à Rome, à la Villa Médicis où il a fait « ses armes » une année durant, de 1993 à 1994. Réalisée en coproduction avec la galerie Massimo De Carlo, l’exposition présente la vision que le peintre Yan Pei-Ming a de la ville de Rome. Vingt grands formats, conçus spécialement pour les galeries de la Villa Médicis et exposés pour la première fois, allient les paysages, monuments, ruines, aux portraits de papes, à l’iconographie du cinéma et à des moments clés de l’histoire récente. Il fait revivre aux spectateurs, le passé de la ville, ses événements et ses personnages marquants. Yan Pei-Ming rend hommage à deux maîtres de la peinture, Caravage et Vélasquez, chacun lié à Rome.