Connexion
Mot de passe oublié ?
 

Eliora Bousquet

Paris (France)

Eliora Bousquet Paris France artiste

Art pratiqué

Peinture, Dessin, Numérique

Site de l'artiste

Présentation de l'artiste

Art abstrait lyrique, visionnaire, symbolique et expressionniste
Art figuratif
Pop art
Arts numériques

Peinture acrylique
Dessin
Aquarelle

Artiste professionnelle affiliée à la Maison des Artistes (MDA) Sociétaire de la Société Nationale des Beaux Arts (SNBA)
Cotée chez Drouot Cotation (1.100 - 3500 €)
Droits d'auteur, de diffusion, de reproduction et de retransmission TV gérés par la Société des Auteurs dans les Arts Graphiques et Plastiques (ADAGP)
Membre de la Fédération Nationale de la Culture française (FNCF)
Membre de l'Académie Européenne des Arts - France (AEAF)

Ses oeuvres

oeuvre de l'artiste Eliora Bousquet : Embarquement pour Kou Chee   oeuvre de l'artiste Eliora Bousquet : Le chant du roseau   oeuvre de l'artiste Eliora Bousquet : Autopsie d'un printemps

Ses oeuvres

Oeuvre Titre Embarquement pour Kou Chee
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 60 x 80 x 2
Prix Oeuvre déjà vendue
Commentaire
Collection "Evanescence"

Texte de présentation :
Quelle étrange chose que la vie, qui naît dans un souffle pour s'éteindre dans un soupir… Et si, entre ces deux extrêmes, tout n'était que "vent" et illusion, si toute chose naissait condamnée à s'évanouir, avant de disparaître en fumée ? L'air… le vent - dont on sait qu'il souffle où il veut - sont à l'origine de cette collection, qui chante l'impermanence des choses, la fragilité - et donc la beauté - d'une vie éphémère, d'où son nom : "Evanescence".

Techniquement, bien que basée sur le travail de la matière - la vie - pour créer des effets de volumes, cette série de tableaux a été réalisée toute en douceur et légèreté, comme à l'aquarelle, afin de laisser la plus grande place à l'émotion, car c'est une ode à la lumière. La vie comme un lavis….

La vie dont chacun parle de long en large, moi je la peins de bas en haut… Dans chacun de mes tableaux, les mouvements verticaux sont permanents, comme si ma peinture cherchait à s'affranchir de l'apesanteur… En effet, lorsque je peins, comme dans la vie, j'ai beau avoir la tête dans les nuages, m'accrochant à mes rêves d'infini, je garde pourtant les pieds sur terre, bien ancrés dans la réalité tangible. Une réalité où la peinture a le don de combler le vide. Là, comme une corde qui s'étire et s'étire encore entre ciel et terre, bien que sachant qu'elle finira par casser, je me sens comme écartelée entre une vie dont je rêve, tout là-haut, et une autre, ici-bas, dont je ne saurais me passer, car j'ai le devoir de la vivre… Peut-être est-ce pour cela que mes mouvements de pinceaux, tels les tracés aigus et rapides d'un électrocardiogramme oscillant du point "N" au point "M", font des allers-retours saccadés permanents entre le nord et le sud puis le sud et le nord de chaque toile. Si la vie, elle-même, est faite de hauts et de bas, l'harmonie peut et doit naître de l'union de ces contraires…

Les reflets sur l'eau sont aussi omniprésents dans mes tableaux. Sans doute, parce que la collection "Evanescence" m'a été inspirée par le poème "Le lac" d'Alphonse de Lamartine : "Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, dans la nuit éternelle, emportés sans retour, ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges, jeter l'ancre un seul jour ? (…) Ô temps, suspends ton vol ! Et vous, heures propices, suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! (…) Aimons donc, aimons donc ! De l'heure fugitive, hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; il coule, et nous passons ! (…)"

Ce lac, qui nous conduit d'une rive à une autre, je l'imagine bordé de roseaux, de ces roseaux qui servent à écrire les textes sacrés, de ces roseaux "pensants" fragiles et pourtant si forts, dont Monsieur de La Fontaine disait que toujours ils plient… mais jamais ne rompent ! Stylisés dans presque tous mes tableaux sous la forme de longues tiges ressemblant à des plumes d'oiseaux, ils signent une collection toute en symboles...

Parce qu'elle pose des questions existentielles, "Evanescence" est une collection romantique, au sens littéraire du terme. Cependant, aucune place n'est ici laissée au désespoir : les traînées de couleurs "suintantes", "dégoulinantes", donnant l'impression d'un rêve qui s'évanouit, ne sont pas des larmes, ni l'empreinte d'un cœur qui saigne… J'utilise, au contraire, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, pour mieux clamer ces mots : "Carpe Diem ! Profitons du jour présent, car si le temps court, la vie, elle, s'envole !"

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Le chant du roseau
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 90 x 70 x 2
Prix Oeuvre déjà vendue
Commentaire
Collection "Evanescence"

Texte de présentation :
Quelle étrange chose que la vie, qui naît dans un souffle pour s'éteindre dans un soupir… Et si, entre ces deux extrêmes, tout n'était que "vent" et illusion, si toute chose naissait condamnée à s'évanouir, avant de disparaître en fumée ? L'air… le vent - dont on sait qu'il souffle où il veut - sont à l'origine de cette collection, qui chante l'impermanence des choses, la fragilité - et donc la beauté - d'une vie éphémère, d'où son nom : "Evanescence".

Techniquement, bien que basée sur le travail de la matière - la vie - pour créer des effets de volumes, cette série de tableaux a été réalisée toute en douceur et légèreté, comme à l'aquarelle, afin de laisser la plus grande place à l'émotion, car c'est une ode à la lumière. La vie comme un lavis….

La vie dont chacun parle de long en large, moi je la peins de bas en haut… Dans chacun de mes tableaux, les mouvements verticaux sont permanents, comme si ma peinture cherchait à s'affranchir de l'apesanteur… En effet, lorsque je peins, comme dans la vie, j'ai beau avoir la tête dans les nuages, m'accrochant à mes rêves d'infini, je garde pourtant les pieds sur terre, bien ancrés dans la réalité tangible. Une réalité où la peinture a le don de combler le vide. Là, comme une corde qui s'étire et s'étire encore entre ciel et terre, bien que sachant qu'elle finira par casser, je me sens comme écartelée entre une vie dont je rêve, tout là-haut, et une autre, ici-bas, dont je ne saurais me passer, car j'ai le devoir de la vivre… Peut-être est-ce pour cela que mes mouvements de pinceaux, tels les tracés aigus et rapides d'un électrocardiogramme oscillant du point "N" au point "M", font des allers-retours saccadés permanents entre le nord et le sud puis le sud et le nord de chaque toile. Si la vie, elle-même, est faite de hauts et de bas, l'harmonie peut et doit naître de l'union de ces contraires…

Les reflets sur l'eau sont aussi omniprésents dans mes tableaux. Sans doute, parce que la collection "Evanescence" m'a été inspirée par le poème "Le lac" d'Alphonse de Lamartine : "Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, dans la nuit éternelle, emportés sans retour, ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges, jeter l'ancre un seul jour ? (…) Ô temps, suspends ton vol ! Et vous, heures propices, suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! (…) Aimons donc, aimons donc ! De l'heure fugitive, hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; il coule, et nous passons ! (…)"

Ce lac, qui nous conduit d'une rive à une autre, je l'imagine bordé de roseaux, de ces roseaux qui servent à écrire les textes sacrés, de ces roseaux "pensants" fragiles et pourtant si forts, dont Monsieur de La Fontaine disait que toujours ils plient… mais jamais ne rompent ! Stylisés dans presque tous mes tableaux sous la forme de longues tiges ressemblant à des plumes d'oiseaux, ils signent une collection toute en symboles...

Parce qu'elle pose des questions existentielles, "Evanescence" est une collection romantique, au sens littéraire du terme. Cependant, aucune place n'est ici laissée au désespoir : les traînées de couleurs "suintantes", "dégoulinantes", donnant l'impression d'un rêve qui s'évanouit, ne sont pas des larmes, ni l'empreinte d'un cœur qui saigne… J'utilise, au contraire, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, pour mieux clamer ces mots : "Carpe Diem ! Profitons du jour présent, car si le temps court, la vie, elle, s'envole !"

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Autopsie d'un printemps
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 90 x 70 x 2
Prix 3500 €
Commentaire
Collection "Evanescence"

Texte de présentation :
Quelle étrange chose que la vie, qui naît dans un souffle pour s'éteindre dans un soupir… Et si, entre ces deux extrêmes, tout n'était que "vent" et illusion, si toute chose naissait condamnée à s'évanouir, avant de disparaître en fumée ? L'air… le vent - dont on sait qu'il souffle où il veut - sont à l'origine de cette collection, qui chante l'impermanence des choses, la fragilité - et donc la beauté - d'une vie éphémère, d'où son nom : "Evanescence".

Techniquement, bien que basée sur le travail de la matière - la vie - pour créer des effets de volumes, cette série de tableaux a été réalisée toute en douceur et légèreté, comme à l'aquarelle, afin de laisser la plus grande place à l'émotion, car c'est une ode à la lumière. La vie comme un lavis….

La vie dont chacun parle de long en large, moi je la peins de bas en haut… Dans chacun de mes tableaux, les mouvements verticaux sont permanents, comme si ma peinture cherchait à s'affranchir de l'apesanteur… En effet, lorsque je peins, comme dans la vie, j'ai beau avoir la tête dans les nuages, m'accrochant à mes rêves d'infini, je garde pourtant les pieds sur terre, bien ancrés dans la réalité tangible. Une réalité où la peinture a le don de combler le vide. Là, comme une corde qui s'étire et s'étire encore entre ciel et terre, bien que sachant qu'elle finira par casser, je me sens comme écartelée entre une vie dont je rêve, tout là-haut, et une autre, ici-bas, dont je ne saurais me passer, car j'ai le devoir de la vivre… Peut-être est-ce pour cela que mes mouvements de pinceaux, tels les tracés aigus et rapides d'un électrocardiogramme oscillant du point "N" au point "M", font des allers-retours saccadés permanents entre le nord et le sud puis le sud et le nord de chaque toile. Si la vie, elle-même, est faite de hauts et de bas, l'harmonie peut et doit naître de l'union de ces contraires…

Les reflets sur l'eau sont aussi omniprésents dans mes tableaux. Sans doute, parce que la collection "Evanescence" m'a été inspirée par le poème "Le lac" d'Alphonse de Lamartine : "Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, dans la nuit éternelle, emportés sans retour, ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges, jeter l'ancre un seul jour ? (…) Ô temps, suspends ton vol ! Et vous, heures propices, suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! (…) Aimons donc, aimons donc ! De l'heure fugitive, hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; il coule, et nous passons ! (…)"

Ce lac, qui nous conduit d'une rive à une autre, je l'imagine bordé de roseaux, de ces roseaux qui servent à écrire les textes sacrés, de ces roseaux "pensants" fragiles et pourtant si forts, dont Monsieur de La Fontaine disait que toujours ils plient… mais jamais ne rompent ! Stylisés dans presque tous mes tableaux sous la forme de longues tiges ressemblant à des plumes d'oiseaux, ils signent une collection toute en symboles...

Parce qu'elle pose des questions existentielles, "Evanescence" est une collection romantique, au sens littéraire du terme. Cependant, aucune place n'est ici laissée au désespoir : les traînées de couleurs "suintantes", "dégoulinantes", donnant l'impression d'un rêve qui s'évanouit, ne sont pas des larmes, ni l'empreinte d'un cœur qui saigne… J'utilise, au contraire, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, pour mieux clamer ces mots : "Carpe Diem ! Profitons du jour présent, car si le temps court, la vie, elle, s'envole !"

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Cavalcade
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 80 x 60 x 2
Prix 3200 €
Commentaire
Collection "Vertiges chromatiques"

Texte de présentation :
A mes yeux, la peinture est un langage à part entière qui trouve sa forme dans la musicalité des choses, impose son propre rythme, son propre mouvement, enchaîne les thèmes en cadence, jusqu'à atteindre une certaine harmonie. Peut-être est-ce pour cela que le titre de ma collection fait clin d'œil aux "Fantaisies chromatiques" de Jean-Sébastien Bach… Après tout, peut-on mettre un bémol au fait de comparer la peinture à de la musique, alors que toutes deux ne peuvent exister qu'à travers l'utilisation d'une "gamme de tons" harmonieusement orchestrés ? En outre, ne parle-t-on pas d'art abstrait "lyrique" ?...

Cependant, si mes tableaux pouvaient émettre des sons, leur musique aurait un côté plus "jazz" que classique: elle serait inventive, totalement improvisée autour de thèmes, largement instinctive quoique maîtrisée, à la fois douce, provocante et imprévisible. Elle serait aussi porteuse de messages ; une musique assez complexe, en somme, bien que simple en apparence… car lorsque l'on croit voir une image, deviner un symbole, comprendre le sens du tableau, on le retourne, et là… d'autres images apparaissent ; on ne sait jamais quels thèmes s'enchaîneront jusqu'à la fin de la mélodie, ni quelle couleur attribuer au morceau joué.

Pour que les couleurs sonnent bien entre elles, il faut qu'elles vibrent, qu'elles "swinguent" sur la toile, comme autant de notes qui se posent, s'enchaînent et s'accordent sur la partition de la vie. Si ma peinture mêle la couleur au geste de façon "brute", presque instinctive, c'est parce qu'elle se veut assez vivante pour que tous les sens se mettent au diapason...

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Le nid
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 60 x 60 x 2
Prix 2500 €
Commentaire
Collection "Vertiges chromatiques"

Texte de présentation :
A mes yeux, la peinture est un langage à part entière qui trouve sa forme dans la musicalité des choses, impose son propre rythme, son propre mouvement, enchaîne les thèmes en cadence, jusqu'à atteindre une certaine harmonie. Peut-être est-ce pour cela que le titre de ma collection fait clin d'œil aux "Fantaisies chromatiques" de Jean-Sébastien Bach… Après tout, peut-on mettre un bémol au fait de comparer la peinture à de la musique, alors que toutes deux ne peuvent exister qu'à travers l'utilisation d'une "gamme de tons" harmonieusement orchestrés ? En outre, ne parle-t-on pas d'art abstrait "lyrique" ?...

Cependant, si mes tableaux pouvaient émettre des sons, leur musique aurait un côté plus "jazz" que classique: elle serait inventive, totalement improvisée autour de thèmes, largement instinctive quoique maîtrisée, à la fois douce, provocante et imprévisible. Elle serait aussi porteuse de messages ; une musique assez complexe, en somme, bien que simple en apparence… car lorsque l'on croit voir une image, deviner un symbole, comprendre le sens du tableau, on le retourne, et là… d'autres images apparaissent ; on ne sait jamais quels thèmes s'enchaîneront jusqu'à la fin de la mélodie, ni quelle couleur attribuer au morceau joué.

Pour que les couleurs sonnent bien entre elles, il faut qu'elles vibrent, qu'elles "swinguent" sur la toile, comme autant de notes qui se posent, s'enchaînent et s'accordent sur la partition de la vie. Si ma peinture mêle la couleur au geste de façon "brute", presque instinctive, c'est parce qu'elle se veut assez vivante pour que tous les sens se mettent au diapason...

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Adagio
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 46 x 38 x 2
Prix Oeuvre déjà vendue
Commentaire
Collection "Vertiges chromatiques"

Texte de présentation :
A mes yeux, la peinture est un langage à part entière qui trouve sa forme dans la musicalité des choses, impose son propre rythme, son propre mouvement, enchaîne les thèmes en cadence, jusqu'à atteindre une certaine harmonie. Peut-être est-ce pour cela que le titre de ma collection fait clin d'œil aux "Fantaisies chromatiques" de Jean-Sébastien Bach… Après tout, peut-on mettre un bémol au fait de comparer la peinture à de la musique, alors que toutes deux ne peuvent exister qu'à travers l'utilisation d'une "gamme de tons" harmonieusement orchestrés ? En outre, ne parle-t-on pas d'art abstrait "lyrique" ?...

Cependant, si mes tableaux pouvaient émettre des sons, leur musique aurait un côté plus "jazz" que classique: elle serait inventive, totalement improvisée autour de thèmes, largement instinctive quoique maîtrisée, à la fois douce, provocante et imprévisible. Elle serait aussi porteuse de messages ; une musique assez complexe, en somme, bien que simple en apparence… car lorsque l'on croit voir une image, deviner un symbole, comprendre le sens du tableau, on le retourne, et là… d'autres images apparaissent ; on ne sait jamais quels thèmes s'enchaîneront jusqu'à la fin de la mélodie, ni quelle couleur attribuer au morceau joué.

Pour que les couleurs sonnent bien entre elles, il faut qu'elles vibrent, qu'elles "swinguent" sur la toile, comme autant de notes qui se posent, s'enchaînent et s'accordent sur la partition de la vie. Si ma peinture mêle la couleur au geste de façon "brute", presque instinctive, c'est parce qu'elle se veut assez vivante pour que tous les sens se mettent au diapason...

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Céleste chrysalide
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 61 x 46 x 2
Prix Oeuvre déjà vendue
Commentaire
Collection "Visions célestes"

Texte de présentation :

J'ai trouvé l'inspiration de cette collection de peintures abstraites dans la poésie romantique française et anglaise de la seconde moitié du 19ème siècle (Charles Baudelaire, Alphonse de Lamartine, Théodore de Banville, Paul Verlaine, Victor Hugo, William Wordsworth, John Keats, William Blake, Percy Bysshe Shelley,…) que j'aime en particulier pour l'hommage vibrant rendu à la beauté de la nature et à la simplicité des choses, pour sa musicalité, pour les sentiments exacerbés dont elle est empreinte, souvent à mi-chemin entre espoir et désespoir, pour les questions existentielles qu'elle pose à force de métaphores filées, clairs-obscurs et images surréalistes…

Cette collection parle du ciel tel que je l'imagine, sans jamais reproduire de paysages existants. Ce ciel, je l'aime, car il appartient à tout le monde, bien que personne n'en soit le maître. C'est un espace éternel, d'une beauté vraiment divine, fait de perfection et d'harmonie, inaccessible, mais source d'inspiration permanente ; un espace entre hier et demain, où la liberté prend son essence et l'imagination, son envol…

Je dédie donc mes "visions célestes" à tous ceux qui ont conservé leur âme d'enfant et savent encore s'émerveiller, même à l'hiver de leur âge. Nous vivons, chaque jour, au coeur de la plus belle oeuvre d'art qui soit; une oeuvre qui a tant de valeur qu'elle n'a pas de prix... Prenez un peu de temps pour l'admirer et, s'il vous plaît, protégez-!

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Luz, la Cité bleue
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 60 x 60 x 2
Prix Oeuvre déjà vendue
Commentaire
Collection "Visions célestes"

Texte de présentation :

J'ai trouvé l'inspiration de cette collection de peintures abstraites dans la poésie romantique française et anglaise de la seconde moitié du 19ème siècle (Charles Baudelaire, Alphonse de Lamartine, Théodore de Banville, Paul Verlaine, Victor Hugo, William Wordsworth, John Keats, William Blake, Percy Bysshe Shelley,…) que j'aime en particulier pour l'hommage vibrant rendu à la beauté de la nature et à la simplicité des choses, pour sa musicalité, pour les sentiments exacerbés dont elle est empreinte, souvent à mi-chemin entre espoir et désespoir, pour les questions existentielles qu'elle pose à force de métaphores filées, clairs-obscurs et images surréalistes…

Cette collection parle du ciel tel que je l'imagine, sans jamais reproduire de paysages existants. Ce ciel, je l'aime, car il appartient à tout le monde, bien que personne n'en soit le maître. C'est un espace éternel, d'une beauté vraiment divine, fait de perfection et d'harmonie, inaccessible, mais source d'inspiration permanente ; un espace entre hier et demain, où la liberté prend son essence et l'imagination, son envol…

Je dédie donc mes "visions célestes" à tous ceux qui ont conservé leur âme d'enfant et savent encore s'émerveiller, même à l'hiver de leur âge. Nous vivons, chaque jour, au coeur de la plus belle oeuvre d'art qui soit; une oeuvre qui a tant de valeur qu'elle n'a pas de prix... Prenez un peu de temps pour l'admirer et, s'il vous plaît, protégez-!

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Stardust
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 50 x 50 x 2
Prix Oeuvre déjà vendue
Commentaire
Collection "Visions célestes"

Texte de présentation :

J'ai trouvé l'inspiration de cette collection de peintures abstraites dans la poésie romantique française et anglaise de la seconde moitié du 19ème siècle (Charles Baudelaire, Alphonse de Lamartine, Théodore de Banville, Paul Verlaine, Victor Hugo, William Wordsworth, John Keats, William Blake, Percy Bysshe Shelley,…) que j'aime en particulier pour l'hommage vibrant rendu à la beauté de la nature et à la simplicité des choses, pour sa musicalité, pour les sentiments exacerbés dont elle est empreinte, souvent à mi-chemin entre espoir et désespoir, pour les questions existentielles qu'elle pose à force de métaphores filées, clairs-obscurs et images surréalistes…

Cette collection parle du ciel tel que je l'imagine, sans jamais reproduire de paysages existants. Ce ciel, je l'aime, car il appartient à tout le monde, bien que personne n'en soit le maître. C'est un espace éternel, d'une beauté vraiment divine, fait de perfection et d'harmonie, inaccessible, mais source d'inspiration permanente ; un espace entre hier et demain, où la liberté prend son essence et l'imagination, son envol…

Je dédie donc mes "visions célestes" à tous ceux qui ont conservé leur âme d'enfant et savent encore s'émerveiller, même à l'hiver de leur âge. Nous vivons, chaque jour, au coeur de la plus belle oeuvre d'art qui soit; une oeuvre qui a tant de valeur qu'elle n'a pas de prix... Prenez un peu de temps pour l'admirer et, s'il vous plaît, protégez-!

(© Eliora Bousquet - extrait du dossier de presse - Reproduction, même partielle, interdite. Merci)
J'aime cette oeuvre
Oeuvre Titre Marilyn
Support Toile
Technique Acrylique
Taille (cm) 40 x 40 x 2
Prix Oeuvre déjà vendue
Commentaire
Collection "Hommage"

Texte de présentation :

Ces tableaux sont des interprétations libres, réalisées d'après photos d'actrices, en hommage (clin d'oeil) à l'oeuvre d'Andy Warhol. Après accord des personnalités représentées (ou de leurs héritiers et ayant-droits), j'aimerais pouvoir vendre l'ensemble de ces tableaux prochainement, au profit de la Fondation Audrey Hepburn pour les enfants défavorisés.

(© Eliora Bousquet)
J'aime cette oeuvre

Ses expositions

Partagez






Ecrire à l'artiste

Envoyer un message



J'aime

Ajout à ma liste d'artiste

 
 

2011 © OBJECTIFEXPO