Il cite Cocteau.
« Un artiste original ne peut pas copier.
Il n’a donc qu’à copier pour être original ».
Il s’inspire de Stella et Durer.
Il recherche de nouvelles formes.
Il détourne, contourne, façonne.
Il détaille, découpe et restitue.
Nous pourrions dire qu’il « patrone » Ladislas.
Ladislas Combeuil.

« 14 formes en transit »
Des patrons de formes évidemment, formes multiples et variées, formes géométriques, qu’il assemble, pour en faire des structures évolutives. Mobiles qui composent à plusieurs des sculptures combinées décomposant elles-mêmes les toiles de ses pairs ainés, comme dans « 14 formes en transit ». Il questionne le Support/Surface, le châssis et la toile pour remettre en valeur à travers eux, l’histoire du volume essentiellement au moyen de simples baguettes de bois et de lin tissé.
Les motifs ornementaux représentent également une part de son travail. Des références à l’art du vitrail comme à l’architecture orientale, ou aux carreaux de ciment peints. Motifs décontextualisés et reconsidérés d’un point de vue purement matériel. Notamment à travers ses Moucharabiehs, qui dessinent des motifs très Arts décoratifs, où l’on peut notamment apprécier un beau travail d’ajourage du bois. L’ornement ouvre sur l’espace, le structure, et à la fois, ne nous en donne qu’une vision parcellaire.
Tout n’est jamais que posture.
+ d’infos sur l’artiste.